Dans les affaires des disparus de Piha, la police a pourtant toujours conclu, malgré l'absence de corps, à des suicides ou des noyades et a rapidement arrêté les recherches à chaque fois. Certains parents ont donc demandé à des journalistes d'enquêter ou ont voulu mener leur propre enquête, comme les parents d'Eloi, disparu en 2020 ou la soeur de Cherie, qui s'est volatilisée en 2022. Certains témoignages recueillis, ajoutés à ceux d'un groupe de femmes habitant dans le secteur, qui ont partagé sur les réseaux sociaux des mésaventures très inquiétantes, laissent penser qu'il existe une culture du viol à Piha, et que certains individus pourraient être des meurtriers.