En 2016, l'ex-patron du laboratoire de Moscou, Grigory Rodchenkov, révèle le vaste système de dopage qui a permis aux biathlètes russes de briller aux JO de Sotchi. Ces accusations font écho à celles de Vitali Stepanov, ancien contrôleur de l'agence russe de lutte contre le dopage, sur le dopage généralisé dans l'athlétisme russe. L'Agence mondiale antidopage confirme, avec l'accablant rapport MacLaren, l'existence du système de dopage. Pourtant, Anders Besseberg se montre dubitatif et demande plus de preuves, une attitude qui renforce la suspicion de corruption à son égard.